|
Le 2e album

1 - Odd ode
I'm really licking a psychedelic slick sweet
Strawberries and flowers are growing in the street
Stay men, and now, please, gimme a lot o' details
About your unreal world of stamens and petals
Melodies and sounds comin' from the passed future
Are confinin' my brain in a pink straight-waist-coat
In the sky, a long-haired misshappen creature
Is talkin' to us 'bout a yellowish u boat
My friend Eugene's gotta be careful with that axe
When he listens to Arnold Layne singin' he shakes
Drinkin' substance that helps him to feel ecstasy
In a shimmering garden full of apple trees
Emily plays and hums odd tunes from the sixties
A thousand of notes and words that drive me crazy
Une chanson écrite par Tristan Rock le 23 novembre 1985. C'est un véritable sonnet avec deux quatrains, deux tercets, en alexandrins. Une manière de "rendre hommage aux groupes et chanteurs anglais des années 60, 70, comme Pink Floyd ou Donovan qui étaient avant tout des poètes", comme le précise Tristan dans son spectacle British and irish dreams, reprenant l'album dans son intégralité, de manière théâtrale. Il y a des références au "Days of future passed" des Moody blues, à "Be careful with that axe, Eugene", "See Emily play", "Arnold Layne", ou à la camisole de force de Syd Barrett (Pink Floyd) ainsi qu'à "Strawberry fields", "Yellow submarine" des Beatles. Kad est aux guitares (acoustique, électrique), Boum et Fred à la basse et la batterie. Le riff de début a été trouvé par Tristan à la voix, lorsqu'il créa la chanson. En spectacle théâtral ou en concert, Tristan danse le madison sur le solo en s'exclamant : "and now, the psychedelic madison !"
2 -Sad Sunday
Sad sunday, I got nothing to do,
Sad sunday, ooh baby I miss you
Sad sunday, nobody's in town
Sad sunday, they left me all alone
Well, the streets are dirty
The city's empty
On sad sunday,
Sad sunday,
Well, papers on pavement,
On the road no movement
On sad sunday,
Sad sunday
Sad sunday, I got nothing to do,
Sad sunday, ooh baby I miss you
Sad sunday, nobody's in town
Sad sunday, they left me all alone
Well, the stores are closed,
I'd like to explode
On sad sunday,
Sad sunday
Well, I listen to silence,
There's no more violence
On sad sunday,
Sad sunday
Sad sunday, I got nothing to do,
Sad sunday, ooh baby I miss you
Sad sunday, nobody's in town
Sad sunday, they left me all alone
Even cats and dogs are gone,
I got no one to phone
On sad sunday,
Sad sunday
My only friends are dustbins,
Broken bottles, rusty tins
On sad sunday,
Sad sunday
Sad sunday, I got nothing to do,
Sad sunday, ooh baby I miss you
Sad sunday, nobody's in town
Sad sunday, they left me all alone
Une chanson - la préférée peut-être de Tristan Rock - à la longue histoire. Tristan en avait écrit une première mouture au printemps 1985, un dimanche dans sa chambre de Villeneuve-lez-Avignon, revue peut-être en 1986, puis avait égaré les paroles. Il les réécrivit le 15 novembre 1991. Il avait toujours gardé en mémoire la mélodie, notamment celle du solo classique interprétée au violoncelle par Renaud qui en fit aussi une variante enregistrée au studio et conservée pour la "fin surprise" de l'album. A la fin du morceau, on entend trois violoncelles joués - magie des mixages de Jean-Marie - par Renaud. Tristan fit plusieurs versions de la chanson, notamment avec Annie aux claviers à l'époque du duo The Lovebirds, dans un style baroque, sur deux ou trois orgues arrangeurs différents. Kad interprète ces deux parties de guitare acoustique pleines de douceur et de nostalgie. Fred a créé cette rythmique dansante tout en apesanteur, comme une brume londonienne qui enveloppe le spleen dominical. Boum tricote avec sa basse. Tristan est heureux du résultat : il a toujours souhaité réaliser une chanson genre "Kinks" ou rappelant le Golden brown des Stranglers, un de ses groupes favoris qu'il avait vu à la Mutualité à Paris le 28 février 1983 : ce soir-là le bassiste, Jean-Jacques Burnel, doué pour le karaté, était descendu dans le public afin de se battre avec un spectateur à la suite d'un jet de bière. Pour son British and irish dreams, sur scène, Tristan, au Clash Théâtre, mettait en mars et avril sa casquette, son manteau gris très "british" et une écharpe achetée à Londres en septembre 2015. Il opta en juillet durant le Festival pour un imperméable jaune clair. Le même qu'il avait utilisé lors d'une soirée anniversaire bal masqué organisée par Lionel en 2000 près de Paris : Tristan s'était ainsi déguisé en Columbo ! Toujours dans le registre déguisement, Tristan espère faire réaliser "one of these days", un clip de la chanson mettant en scène le groupe avec costumes et instruments baroques. L'idéal serait de le tourner à... Londres, un dimanche !
3 - Glory to Gareth Edwards
Glory to Gareth Edwards
Glory to Gareth Edwards
Glory to Gareth Edwards
Glory to Gareth Edwards
The television was in black white
But you couloured the screen
Scotland and France in blue, England in white
And Ireland in green
In the tournament Wales was always the best
And also in every test
You were playing like a sportman Mozart
With you the rugby became a piece of art
weeah !
Glory to Gareth Edwards
Glory to Gareth Edwards
Glory to Gareth Edwards
Glory to Gareth Edwards
Barry John and JPR Williams
Phil, Bennett Gerald Davies,
Faulkner, Martin, Price, Bevan, JJ Williams,
Cobner, Mervin Davies,
Quinell, Fenwick, Wheel, Morris and Taylor,
Lloyd, Dawes and Windsor
It was the good old times of the sixties
And the good old times of the seventies
La chanson la plus récente de l'album : Tristan avait trouvé l'intro et un bout de refrain le 15 novembre 2014, puis la mélodie du couplet le 14 mars 2015 alors qu'il regardait un match du tournoi des V nations ! et le 10 avril de la même année, avant d'écrire les paroles. Il l'avait présentée durant l'été à Lionel qui avait trouvé le riff avant de l'enregistrer lors de la "dernière séance" en studio fin août. Tristan rappelle ainsi son amour pour le rugby de "papa" (son joueur préféré demeure le Palois Paparemborde, surnommé, justement "Papa", vainqueur du mythique Grand Chelem de 1977 avec Jacques Fouroux capitaine, un des rares à avoir battu (avec les Voultains Guy et Lilian Cambérabéro en 1968) le fameux... Gareth Edwards. Dans le 2e couplet, 20 noms de joueurs de "la grande époque" galloise, fin des années 60, années 70 sont cités. Pour son spectacle, Tristan Rock revêt un maillot "vintage" du Pays de Galles et mime des passes, des mêlées, touches, coups de pied, marque un essai pendant que Lionel "attaque" avec son solo très "sixties", chuckberrien, sur une rythmique twisto-jerky ou jerko-twisty. Lors d'un concert à Graveson, à l'automne 2015, Tristan avait même mis des chassures à crampons et avait failli finir les "quatre fers" en l'air. Les extraits de commentaires de matches sont ceux, d'époque, accompagnant de véritables essais de Gareth Edwards. On retrouve ainsi l'ambiance des matches où la télé était encore en noir et blanc et où le son ramenait vers la France un grand brouhaha d'où s'élevaient les coeurs gallois. Les matches là-bas avaient lieu plus tard qu'en France : cela se finissait parfois de nuit, dans le brouillard ou sous la pluie. Mais la plupart du temps, ce sont les Gallois, dont beaucoup de descendants de mineurs de fond (qui eux aussi... descendaient dans les puits) qui l'emportaient. Gareth Edwards et les joueurs des lignes arrières du Pays de Galles, avec cheveux longs et rouflaquettes ressemblaient aux musiciens de l'époque. Et leur jeu, à l'inverse de celui d'aujourd'hui avec les "rucks" qui ralentissent tout, laissait place à d'incroyables improvisations semblables à celles des groupes de pop music. Pour en revenir à la chanson, on y entend aussi les choeurs virils de Boum, Lionel et Tristan sur le refrain. Ce qui a valu de sacrés crises de fous rires qu'on peut retrouver dans une vidéo de U tube. Tout comme celle ci-dessous, réalisée par Emanuel Brugvin, avec un extrait du solo de Lionel et les véritables coups de pied de Tristan, filmés au stade de Grâne, dans la Drôme. Il finit par en réussir un.

4 - Iseult
Iseult, I'll never meet you
Iseult, I'd like to meet you
I enjoy the blue sky in your shiny eyes
And I love the golden threads around your face
Ohh lovin' night
In your arms
Oooh marvellous sight
Of your charms
Let's go out for a lovely ride
On my white and slender stallion
We'll stop a moment on the road side
You'll be my dove I'll be your lion
Iseult, I'll never meet you...
I'd like to be your valiant knight
Carrying off your damsel's body
After a long and rude fight
I'd be your lord, you'd be my lady
Iseult, I'll never meet you...
Ooh happy night
In your arms
Ooh unreal sight
Of your charms
I wish we were hiding ourselves
Far away from the elves
In the verdant hills of Wales
Or in its misty glades and vales
Ooh irish night
In your arms
Ooh divine sight
Of your charms
I say again and again
These names so medieval
Gorvel, Ogrin, Brangaine
Beliagog and Gordeval
Ecrire une chanson sur Iseult, il fallait que cela arrive mais cela arriva très... tôt puisque Tristan créa ce titre les 7 et 8 septembre 1985 alors qu'il cherchait, justement son... Iseult et se sentait bien seul. Puis vint Annie avec laquelle il enregistra, en 1993, une première version avec l'orgue arrangeur Rolland et de féeriques bruitages : cheval au galop, rivière qui coule, petits oiseaux... Tristan, par la suite, ne chanta plus ce titre que, pourtant, il... adorait, jusqu'à la création de l'album en l'honneur des musiques britanniques et celtiques : elle... s'imposait. Avec un résultat poétique à souhait, Kad à la guitare et Renaud à la harpe réalisant un véritable duel de ménestrels, Boum faisant tournoyer sa basse avec un son qui rappelle les albums fin sixties, début seventies de Serge Gainsbourg, Fred tapant fidèlement "le slow". Celui-ci dure 5' 31. Que les amoureux en profitent : on ne voit (et surtout on n'entend plus ça) de nos jours !
5 - Hey, Mr Bean
Do you know this poor man
He's got a sad face
He's a strange englishman
With a little case
He's drivin' a green car,
An Austin mini
And now he's a real star
Because he's so funny
Hey Mr Bean,
Where have you been ?
Hey, Mr Bean ?
I've been on holiday
With my brown teddy bear
I have been to funfair
My favorite feast
I have been to dentist's
I did'nt like this day
And I have been fool
At school
He's moaning and spiteful
He's not beautiful
Nobody is as mean
As Mr Bean
Oh yeah he's very thin
His suit is skimpy
Getting angry about nothing
He's rarely happy
Hey Mr Bean,
Where have you been ?
Hey, Mr Bean
Hey Mr Bean,
Where have you been ?
Hey, Mr Bean
He's living all alone
In a dark flat
Without red nose nor hat
He's a real clown
He's very suspicious
He has few friends
He's a little vicious
He loves independence
Hey Mr Bean,
Where have you been
Hey, Mr Bean
Hey Mr Bean,
Where have you been
Hey, Mr Bean
Hey, Mr Bean
Hey, Mr Bean
Un véritable hymne... à la joie, chanson fétiche de Tristan et Annie qui la créèrent
les 15 et 16 avril 1996 à l'époque du duo The Lovebirds, Annie composant la
musique ainsi que le solo, Tristan écrivant les paroles. Dans un premier temps en
anglais puis en français ce qui leur permit, en 1997, de sortir un single enregistré
à Paris, destiné à la promo et diffusé sur de nombreuses radios locales en 1997 et
1998. Mais l'arrangement, sans guitare ni véritable batterie, un peu "variétés" les
avait quelque peu déçus. De même que la "boîte de promotion" parisienne ne
tenant pas ses promesses. Ils reprirent souvent le titre lors de leurs concerts
puis, Tristan la chanta rarement. Jusqu'à ce jour d'avril 2015 où il fit la surprise,
pour son anniversaire, à Annie, enregistrant "Hey, Mr Bean" dans sa version
originale en anglais, sur une rythmique toujours très country : Kad à la guitare,
Boum à la basse, aux choeurs et à la... guimbarde, Fred à la batterie. Sur cette
version, étrangement, la partie du refrain "I've been on holiday..." n'est reprise
qu'une fois. Ou alors c'est mieux comme ça ? Lors de son one singer show, Tristan
s'amuse avec le nounours "mascotte" des Lovebirds, figurant sur la pochette de
leur CD. Une chanson bien sûr en hommage à l'inénarrable personnage
brillamment interprété par Rowan Atkinson, dont les épisodes furent diffusés pour
la première fois au milieu des années 90 en France. Il y a longtemps, hélas, que la
télévision française ne les passe plus. Au printemps 2006, Rowan Atkinson avait
tourné une partie de son film "Les vacances de Mr Bean" dans le Luberon. Tristan
s'était inscrit à un casting pour des scènes filmées à Cavaillon. A son grand
regret, il ne fut pas pris. Il se rendit cependant sur place un matin (Rowan
Atkinson n'était pas là) et donna à un membre de l'équipe la chanson "Hey, Mr
Bean", à tout hasard. Sans suite... Tristan a réenregistré au studio la version
française (avec le refrain "Hey, Mr Bean, roi d'la combine") une fois l'album sorti.
6 - Oh Donovan
Oh Donovan,
Everytime I drive my van
Oh Donovan,
I follow your scottish caravan
Caravan
Oh Donovan,
I'm livin' in Govan
Oh Donovan,
I am lyin' on my divan, my divan
You're the sunshine superman
Oh Donovan
You're the hurdy gurdy man
Hurdy gurdy man,
Hurdy gurdy man
Oh Donovan,
Everytime I drive my van
Oh Donovan,
I follow your scottish caravan
Caravan
Oh Donovan,
I'm livin' in Govan
Oh Donovan,
I am layin' in my divan, my divan
I wanna join your Glasgow clan
Dadadada
I will be always be your fan
Always be your fan
Always be your fan
Oh Donovan,
Everytime I drive my van
Oh Donovan,
I follow your scottish caravan, caravan
Oh Donovan,
I'm livin' in Govan
Oh Donovan,
I am lyin' on my divan, my divan
Fifty years ago all began
Dadadada
Flavors of mint an origan
Mint and origan, mint and origan
Une chanson créée les 12 mai, 11 juin, et 26 juillet 2014. Kad est à la guitare, Renaud au violoncelle, Fred à la batterie et Boum à la basse. Un slow qu'aime beaucoup Tristan tentant de rendre hommage à une de ses idoles, le barde écossais Donovan. Il reprenait déjà Hurdy gurdy man - chanson découverte dès sa plus tendre jeunesse sur l'album du même nom avec une drôle de plante verte dessinée sur la pochette - lors de "Rock 'n' Roll Dream" en duo avec Gérard. Il avait fait écouter la médolie de Oh Donovan à celui-ci au printemps 2014. Lors du spectacle British and irish dreams, Tristan, avec chemlse en satin violet largement entrouverte, colliers, lunettes multicolores "John Lennon" et bandeau à fleurs dans les cheveux mimait, de dos, des danseurs de slow. Il effectuait aussi sa fameuse danse hippie "shiva" qu'il avait créée pour 'Open".

7 - Carnaby blues
I wanna drink a cup of tea
With my ol' friend King Lear
I wanna dance at the party
With Amanda Lear
Carnaby blues, carnaby blues
carnaby blues, carnaby blues
I wanna cross Abbey road
I wanna jump like a toad
I wanna kiss Ruby tuesday
Yesterday and today
Carnaby blues, carnaby blues
carnaby blues, carnaby blues
I wanna play football
In the Royal Albert Hall
I wanna see Viviane Westwood
I wanna be Robin Hood
Carnaby blues, carnaby blues
carnaby blues, carnaby blues
I wanna be a horse guard
I wanna hear a new sound
I wanna be named Edward
I wanna give you a pound
Carnaby blues, carnaby blues
carnaby blues, carnaby blues
Un titre écrit à l'origine en septembre 2011 pour... Amanda Lear. Tristan Rock a réécrit une version destinée à un... chanteur. La première version avait été enregistrée avec Annie au Korg I3. Kad a trouvé ce son de guitare lors de la première séance d'enregistrement du titre. Lionel a rajouté, plus tard, en août 2015 les notes "jamesbondiennes". Fred est à la batterie, Boum à la basse. Sur scène pour son spectacle British and Irish Dreams, Tristan revêt son beau manteau (venant d'un magasin de costumes Idées hall situé place de l'Odéon, désormais fermé, remplacé par un marchand de fruits de mer !) sa canne, son chapeau (acheté à... London sur Oxford street) et son foulard rouge. En sortant de la boutique parisienne où il avait acheté le manteau, la canne et le foulard, en octobre 2014, Tristan était "tombé" sur Arturo Brachetti qui venait, lui, de se procurer un chapeau au même endroit. Quelques minutes après, Tristan et Annie rencontraient... Jane Birkin juste devant le Café de Flore, à Saint-Germain-des-Prés. Avant d'interpréter "Carnaby blues" dans une version légèrement raccourcie pour le spectacle, Tristan cite Gainsbourg : "Une nuit que j'étais à me morfondre dans quelque pub anglais de Londres". Et d'ajouter : "Serge Gainsbourg lorsqu'il écrivit ces saines paroles, avait peut-être le Carnaby... blues". Pendant le solo, il mime un combat à la canne-épée dans les rues de Londres. Une "chorégraphie" créée à Grâne (une improvisation en hommage au comédien de cape et d'épée Michel Le Royer présent ce jour-là), reprise à Caderousse au printemps 2015, puis lors d'autres concerts où Tristan "se bat en duel" avec les guitaristes. Enfin, lors des premières représentations, au printemps 2016 au Clash Théâtre, il buvait quelques gorgées de "Highland whisky" (voir la photo d'Emmanuel Brugvin), ce qu'il ne fit plus par la suite pendant le Festival d'Avignon pour des problèmes de... production !
8 - Rollin' boy
Yeah baby listen to my beat
I want you to get out of that seat
You got the rhythm in your feet
Gonna shake and dance in the street
I am a rollin' boy
Rock 'n' roll is my toy
I am a rollin' boy
Rock 'n' roll is my joy
I got a brand new red guitar
And I would like to be a star
A rollin' boy
I got a pink new cadillac
And I am all dressed in black
There's a rumble in Brighton tonight
But I really don't wanna fight
I got a brand new red guitar
And I would like to be a star
A rollin' boy
I wanna sing Long tall sally
And Johnny remember me
Rip it up, Good golly miss molly
Shakin' all over, My baby left me
I got a brand new red guitar
And I would like to be a star
A rollin' boy
I am rollin' boy,
Rollin' boy,
Rollin' teddy boy,
Rollin' boy
Une chanson dont la mélodie avait été trouvée à l'automne 2004, terminée le 9 mars 2005. Tristan l'a souvent interprétée avec Annie (Lovebirds, Annie & les cowboys). Ils avaient enregistré une première version en duo en 2005 à Grâne avec Korg et voix. C'est cette version qu' on peut toujours entendre sur le site américain Number One music qui en a fait le plus gros succès de Tristan pour les internautes abonnés. Tristan a légèrement changé les paroles originales pour la version d'Engwelscottirish Dreams, la transformant en hommage à Vince Taylor mais aussi aux Teddy boys, au Rumble in Brighton des Stray Cats et à Johnny remember me. On retrouve Kad, Fred et Boum (également aux choeurs "virils" ) et Jean-Marie à l'orgue. D'où une version qui rappelle un peu Titanic et les groupes "hard" britanniques fin années 60-début 70. Avec un peu de "Who". Jean-Marie a légèrement "musclé" le son de la guitare lors du mixage. Pendant le spectacle, Tristan s'habille avec son unique perfecto, ses gants, lunettes noires et prend des poses de rocker à la Gégene, Vince Taylor/Elvis.
9 - Irish girls and ladies
Irish girls and ladies
Irish girls and ladies
Are beautiful and lovely
Celtic songs and melodies
Are cheerful and lively
I wanna go to the pub
With my friends
I wanna move in a club
On this dance
A crazy saraband comin' from Ireland
A happy hornpipe made on this sweet island
Irish girls and ladies
Are beautiful and lovely
Celtic songs and melodies
Are cheerful and lively
I am drinkin' a black pint
Of Guinness
I am rockin' and jumpin'
With happiness
All the things around me seem to be green
I'm a Monroe, O' Hara, Mac Gowan from Erin
Irish girls and ladies
Are beautiful and lovely
Celtic songs and melodies
Are cheerful and lively
In the ginger haired country
Poetry
And how these strong men could be
Without rugby
Oh they all got a shmarock instead of heart
Oh my wonderful Eire, you do look so smart !
Irish girls and ladies
Are beautiful and lovely
Celtic songs and melodies
Are cheerful and lively
Une chanson créée par Tristan en mars 1995, où il trouva la mélodie au milieu de vignes... suisses à Martigny, puis le 13 avril 1995. Elle eut pour titre Eire, Erin, Ireland puis Eire, Ireland, Jesaipa, Annie ayant demandé à Tristan : comment s'appelle cette chanson ? Lui ayant répondu : "Je sais pas". Il l'interpréta rapidement avec Annie, l'accompagnant à l'orgue Korg I3. C'est elle qui trouva la mélodie qu'on entend à la fin, jouée par le groupe vauclusien les Souffleurs de Bélugues aux flûtes. Tristan et Annie firent même écouter une première version enregistrée sur cassette à des... Irlandais dans un bar de Londres lors de la soirée de la Saint Patrick où toutes les générations se retrouvaient bière en main dans une ambiance survoltée digne de la Taverne de l'Irlandais avec John Wayne, sans bagarre heureusement ! La chanson connut une seconde jeunesse pour cet album avec Kad à la guitare, Boum à la basse, Fred à la batterie et le groupe vauclusien Les Souffleurs de Bélugues. Pour son spectacle British and irish dreams, Tristan revêtait un pull vert, une casquette et mimait (comme il pouvait) pendant le solo de la fin les danseurs celtiques. Une chanson qui parle de bière, de rugby, de poésie et de belles dames et demoiselles irlandaises. La chanson est présentée dans une nouvelle version lors des soirées du trio Tristan Rock and the Shamrocks : sur son studio se joignent Jacky au violon et Claude à l'accordéon !

10 - Knock and roll around with Alvin Lee
Gonna knock and rock and roll around with Alvin Lee
Shake with the crazy beatin' drums of Rick Lee
Chick Churchill is playin' boogie like Jerry Lee
You can't go faster than the master
of Ten Years After
Knock and rock
Jump and stomp
Stroll and roll
With Alvin Lee
Listen to the throbbing bass man Leo Lyons
These happy musicians are wilder than four lions
They're rocky country bluesy poppy champions
You can't go faster than the master
of Ten Years After
Knock and rock
Jump and stomp
Stroll and roll
With Alvin Lee
As Donovan, Jimi Hendrix, The Doors and co,
They were the kings in London and San Francisco
Playing pop music more fun than the disco
You can't go faster than the master
of Ten Years After
Knock and rock
Jump and stomp
Stroll and roll
With Alvin Lee
Knock and rock
Jump and stomp
Stroll and roll
With Alvin Lee, with Alvin Lee...
Une chanson créée dans un premier temps par Tristan à Grâne, en 2006 ou 2007. Il en enregistra avec Annie au Korg une version sur leur dernier album autoproduit : The Lovebirds are back. Puis il reprit le morceau avec Lionel à la guitare acoustique, l'été 2014 à Grâne. Il enregistra enfin lea chanson avec Lionel, Fred et Boum au studio ADN. Un hommage à un groupe mythique, un des préférés de Tristan et Lionel : tous deux l'écoutaient très... jeunes à leur maison familiale. Ils découvrirent ainsi les vinyls Watt et A space in time. Dans son spectacle, Tristan qui avait dans son décor le 33 tours Rock and roll music to the world, trouvé par hasard chez un marchand de vieux disques à Avignon, tout près du Clash Théâtre, mettait un perruque blonde bouclée et une chemise représentant des cassettes. Il s'exclamait au début du sketch, avant la chanson : "ma cassette, ma cassette !" citant ainsi une réplique de l'Avare de Molière, puis rendait hommage aux... mini cassettes. Il diffusait ensuite un extrait de l'une d'entre elles enregistrée en 1975. Il s'agissait de... Lionel apprenant la guitare et interprétant avec brio l'intro de I'd love to change the world. Lionel et Tristan n'ont jamais pu voir "Ten years after" en concert, au complet, ils étaient trop... jeunes. Alvin Lee est décédé le 6 mars 2013 à 68 ans. Tristan avait pu cependant voir trois sur quatre des musiciens : Leo Lyons, Chick Churchill et Rick Lee à deux reprises au cabaret le Rouge Gorge à Avignon, en 2005 ou 2006 et 2007, Joe Gooch "remplaçant" Alvin Lee. Il put leur faire dédicacer plusieurs CD et le vinyl dépoque I'd love to change the world. Il l'offrit un peu plus pard à Lionel pour son anniversaire. On devrait plutôt dire qu'il lui rendit puisque cet album revenait logiquement au guitariste qui avait appris en écoutant ce chef d'oeuvre de la pop music. Lorsque Lionel est présent, le groupe interprète la chanson come ce fut le cas au kiosque de Montélimar en 2017 puis au Théâtre de verdure de Grâne en août 2018; Au début du premier solo, Tristan se tourne vers son frère et dit : "Hey, Lionel, you're a little jazzy, no ?" puis il se régale d'entendre les improvisations se succéder, finissant en tapant des mains tels un danseur de flamenco sur le final où Fred, lui aussi, se régale baguettes en main.
|
Surfin' girl
The misery of Johnny Cash
|